Plus de 8 Français sur 10, la diversité dans le monde du travail est une bonne chose, selon un sondage Elabe publié lors du premier sommet de l’inclusion économique. Un enjeu politique autant qu’économique.
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La diversité n’est plus une option. Les entreprises vont devoir ressembler à leurs clients, sinon elles ne seront plus. C’est le constat partagé lors du sommet de l’inclusion économique qui s’est tenu au ministère de l’Économie et des Finances, à Paris, le 29 novembre, en présence de sept ministres et secrétaires d’État. « L’inclusion est bénéfique à la fois pour la performance économique, pour l’épanouissement des collaborateurs, pour la satisfaction des clients et pour la cohésion sociale », a résumé une intervenante. Et pourtant, les progrès de la société française en la matière sont lents. « La France n’est pas encore au niveau, a reconnu Élisabeth Borne, ministre du Travail. Un pays ne peut pas laisser une partie de ses habitants et de sa jeunesse, en dehors de l’inclusion économique. C’est une4555