La nouvelle stratégie internationale de l’ESSCA pourrait se résumer à un mot : Europe. Un nom qui résonne comme la promesse de partenariats à la fois plus nombreux, plus riches et plus utiles.
Illustration : François Borderie
Pourquoi L’ESSCA mise-t-elle désormais sur l’Europe ? Jean Charroin Tout d’abord, nous ne sommes pas nouveaux en Europe ; notre campus de Budapest existe depuis 1993 ! Plus récemment, nous avons acquis la conviction que notre projet international ne se ferait plus sans donner priorité à l’Europe. La crise du Covid-19 a joué un rôle moteur en poussant l’enseignement supérieur à redéfinir ce qu’était une stratégie internationale. Où parvenait-on à trouver des solutions communes en termes administratifs, de déplacements, de vaccins, de santé publique ? En Europe. En nous rapprochant de nos voisins, deux sentiments paradoxaux nous ont frappés. Celui d’une grande convergence et d’une vision partagée sur de nombreux aspects ; celui, aussi, de ne pas mener ensemble autant de projets que nous aurions dû dans des domaines dans4555