Depuis plusieurs années, les attaques se multiplient contre les représentants de la nation. Elles se sont encore accrues depuis le début du quinquennat d’Emmanuel Macron.
Illustration : Joni Majer.
Dans la Drôme, le 8 juin, un jeune homme, sympathisant royaliste, a giflé Emmanuel Macron lors de son "tour de France". Alors que le président s’approchait d’un groupe de personnes massées derrière des barrières, l’homme, âgée de 28 ans, a agrippé le chef de l’Etat par le bras gauche en le giflant de la main droite, après avoir proféré le cri de guerre royaliste « Montjoie ! Saint-Denis ! » et « A bas la Macronie ! » Cet épisode s'inscrit dans un climat délétère qui ne date pas de la campagne des élections régionales et départementales des 20 et 27 juin ou de la précampagne présidentielle. Depuis plusieurs années, en effet, les attaques se multiplient contre les représentants de la nation. Elles se sont encore accrues depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron. Retour sur4555