Grande cause des quinquennats d’Emmanuel Macron, l’égalité entre les femmes et les hommes reste un combat, comme l’a démontré la 4e édition des Assises de la parité.
Carole Grandjean, ministre chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnels. Photo @Cédric Helsy
Le 19 juin, au ministère de l’Économie des Finances, se tenait la quatrième édition des Assises de la parité. Présidé par Lucille Desjonquères, qui a longtemps dirigé le réseau International Women’s Forum pour la France, cet événement, qui fait l’état des lieux de la parité dans les entreprises et dans la société, a rappelé que le chemin vers l’égalité entre les femmes et les hommes est encore long. Si, à plusieurs égards, la France peut se féliciter d’avoir fait de véritables progrès, notamment grâce à la loi Copé-Zimmermann qui a instauré des quotas féminins dans les conseils d’administration des grandes entreprises, le sexisme dit « ordinaire » demeure. Fait surprenant révélé par une édifiante étude Kantar, partenaire de l’édition, les 25-34 ans seraient plus enclins à perpétrer4555