En première ligne lorsque l’on parle d’impact, les enseignes de distribution affrontent toutes les problématiques, qu’il s’agisse de gaspillage alimentaire ou d’empreinte carbone. La transition vers un monde plus durable est engagée et les consommateurs sont quant à eux plus exigeants vis-à-vis de leurs supermarchés.
Illustrations : ISTOCK / Lila Briand
Du producteur au consommateur, les défis de la grande distribution sont extrêmement vastes et concernent toute la chaîne de valeur du secteur. Choisir les fournisseurs avec soin, transporter les produits sans polluer jusqu’au dernier kilomètre et les mettre à disposition dans les meilleures conditions implique une vision plutôt large de la transition écologique. Les supermarchés sont d’ailleurs nombreux à «verdir» leurs rayons, de l’amont à l’aval. Pour des raisons évidentes de RSE, mais aussi et surtout parce que les clients sont beaucoup plus sensibles au développement durable. Alors, entre les annonces symboliques comme arrêter les prospectus et des décisions plus profondes (économie d’énergie, déchets…), les grandes marques agissent fortement. «Mais attention, prévient Mike Hadjadj, fondateur du réseau d’experts iloveretail.fr et de La Retail Tech, si4555
