Portrait
Bruno Le Roux, héritier de Mauroy et de Bonnemaison
2 octobre 2013
Le réformisme de bon aloi de l’ancien maire d’Épinay et du Premier ministre de Mitterrand fut le vade-mecum du patron des députés socialistes.
« Je ne suis pas entré dans la vie publique pour épouser le combat de Jaurès. Plus j’ai grandi en politique, plus j’ai penché à gauche. » L’homme qui parle ainsi n’imaginait sans doute pas se retrouver un jour à la tête du groupe socialiste de l’Assemblée nationale.