Jean-Pierre Raffarin, invité d’Hexagone, la nouvelle émission de L’Hémicycle TV
L’ancien Premier ministre était l’invité de la journaliste Valérie Trierweiler.
L’ancien Premier ministre était l’invité de la journaliste Valérie Trierweiler.
Interrogé par L’Hémicycle dans le cadre du World Impact Summit, le 8 mars à Bordeaux, l’ancien chef de l’État a estimé que « le seul parti politique vraiment structuré, c’est le Rassemblement national ».
Président de Vyv, le plus grand groupe mutualiste de France, il est candidat à la présidence d’ESS France, la structure qui représente les différentes familles de l’Economie sociale et solidaire, dont l’élection aura lieu le 10 avril. Parmi ses concurrents, l’ex-ministre en charge du secteur, Benoît Hamon.
Longtemps vue comme la plus prestigieuse, la « comfi » est un organe clé de l’Assemblée nationale. C’est elle qui suit le budget et ses membres disposent de pouvoirs de contrôle spéciaux à l’égard de l’ensemble des ministères. Mais elle n’échappe pas au renouvellement des pratiques parlementaires.
En l’espace de quelques jours, deux initiatives parlementaires sont apparues sur un même sujet : la régulation du marché de la mode en ligne. Le groupe Horizons et un député Les Républicains à l’Assemblée nationale sont montés au créneau pour juguler/maîtriser l’explosion de la « fast-fashion », avec deux propositions de loi de distinctes. Mais le chemin est encore long avant leur adoption et leur mise en place.
Après la censure d’un tiers des mesures de la loi immigration par le Conseil Constitutionnel, le 25 janvier, et en plein débat sur l’aspect économique de ce phénomène, le président de Deloitte France, déplore une focalisation politique sur « l’immigration sociale ». Selon le leader du cabinet de conseil et d’audit financier, « ce sont toujours les pays qui ont attiré les talents étrangers qui sont devenus de grandes puissances ».
Dans une nation en panne de récit, des voix nouvelles doivent émerger. C’est le rôle du politique de les encourager.
Pour ce brillant essayiste et enseignant à Sciences Po, notre pays est en crise nationale, en panne de projet et d’idées, dont l’issue passe par la reconstruction d’une démocratie de proximité dans laquelle des gens qui n’appartiennent pas aux mêmes univers et qui n’ont pas les mêmes aspirations retrouvent du plaisir à être et à faire ensemble.
Forgé par la Révolution, notre modèle national, contractuel et universaliste, a été érigé en religion civique par la IIIe République. Mais, depuis les années 1970, cette vision singulière de la communauté nationale se délite.
Invité du Club de L’Hémicycle, jeudi 8 février, Olivier Marleix, le patron des députés LR, a estimé qu’Emmanuel Macron « a décidé de laisser les clés de l’Élysée à Madame Le Pen ».