La présidente du mouvement La France vraiment ! appelle le prochain locataire de l’Élysée à ouvrir son mandat par un sommet citoyen. Sinon, avertit-elle, ce sera le retour du mécontentement de type Gilets jaunes.
De la haine des médias au candidat-journaliste abhorrant ses confrères, tel est le dangereux paradoxe français.
Les liens entre la sphère médiatique et la vie politique n’ont jamais été aussi étroits que lors de la présidentielle de 2022, décrit l’historien. Aboutissement spectaculaire d’une évolution commencée il y a près de soixante ans.
Selon un sondage Kantar pour L’Hémicycle, dans le cadre de la présidentielle, les Français veulent une école qui réaffirme ses fondamentaux et une université davantage tournée vers le monde du travail.
Face au vieillissement de la population, qui va modifier la société, l’État n’a d’autres choix que de s’appuyer sur la contribution des citoyens, affirme la présidente de la Fédération des particuliers-employeurs de France (Fepem).
Pour l’historien et philosophe Marcel Gauchet, les citoyens sont à la recherche d’un ou d’une chef de l’État qui dessine un cap clair et qui adopte une autre façon de gouverner.
Pour Emmanuel Rivière, directeur international des études politiques de Kantar Public, le conflit ukrainien a un effet sur la campagne présidentielle.
Le numéro 507 de L’Hémicycle vient de paraître ! Il se penche sur les relations entre médias et politiques dans cette présidentielle décidément inédite, marquée par le Covid et, désormais, une guerre.
L’écrivaine Gaël Tchakaloff a passé deux ans en immersion avec Brigitte et Emmanuel Macron, dont elle est proche. Elle raconte le fonctionnement du pouvoir à travers la quotidienneté de leur lien amoureux.
La mandature 2017-2022 a-t-elle servi à une restructuration du jeu politique ? Non, répond le politologue, pour qui le clivage droite-gauche n’a pas disparu au profit d’un autre, entre populistes et progressistes. Reste une confusion durable vertigineuse.
