Souveraineté alimentaire, un copieux défi
La France agricole perd des parts de marché et beaucoup d’exploitations. Un modèle atteint ses limites ; l’autre peine à se dessiner. Innovation contre nourriture, le chemin sera long.
La France agricole perd des parts de marché et beaucoup d’exploitations. Un modèle atteint ses limites ; l’autre peine à se dessiner. Innovation contre nourriture, le chemin sera long.
Dans un contexte de tension économique et géopolitique mondiale, le courtier d’assurances est au cœur des enjeux de sécurité et de souveraineté des entreprises. Des solutions innovantes existent pour les aider à faire face à la montée des périls, à condition de savoir valoriser et protéger ses données.
La pandémie de Covid-19 a jeté une lumière crue sur notre dépendance, et donc notre vulnérabilité. Alors que plus de 3500 ruptures ou risques de ruptures de médicaments ont été encore observées en France en 2022, quelles peuvent être les réponses stratégiques à cet impératif de santé publique ?
CB, voilà un sigle reconnaissable entre tous, dont bien peu connaissent les contours. Face à des géants mondiaux, le Groupement des Cartes bancaires mise sur la confiance et la sécurité des données de paiement, mais aussi la défense du Made in France, selon son directeur général.
Si acheter un produit made in France est important pour notre souveraineté, la manière de le payer ne l’est pas moins. Parent pauvre du débat public, le paiement est pourtant un défi stratégique à multiples tiroirs.
Le premier assureur du secteur associatif estime que l’État doit tenir son rôle pour que le marché de l’assurance puisse continuer à couvrir les risque, selon son directeur général, Pascal Demurger, invité des « Décideurs engagés de l’assurance », une émission de l’Institut de formation de la profession de l’assurance (Ifpass), en partenariat avec L’Hémicycle.
Longtemps présentés comme antagonistes, le rail et la route ne peuvent désormais plus se penser l’un sans l’autre. A condition de tordre le cou aux vieilles représentations et de rééquilibrer la place de chacun dans les politiques de transport et les investissements publics.
Si la pratique du covoiturage a pris son envol sur les longues distances, elle reste encore trop marginale pour les déplacements entre le domicile et le travail. Huit conducteurs sur dix sont seuls dans leur voiture lors de leurs trajets quotidiens.
En 2035, plus aucun véhicule thermique neuf ne sera vendu. Encore minoritaire sur les routes françaises, la voiture électrique va s’imposer dans les années à venir. Une accélération inéluctable qui nécessite des investissements et un changement de perception du grand public, encore sceptique sur son utilisation.
Pour l’ancien secrétaire d’État chargé du Numérique, rien ne serait pire qu’une régulation qui empêcherait le développement de l’IA générative en Europe, car c’est le créateur, qui façonne les outils numériques, pas le régulateur.