Le choc de 1973 marque le début de la fin de l’hégémonie économique absolue de l’Occident, qui découvre avec stupeur les fragilités de son modèle. Ce dernier a cependant manqué l’occasion de réduire sa dépendance aux hydrocarbures, le chantier des énergies alternatives repassant vite au second plan. Il a fallu attendre la guerre en Ukraine pour que l’on redécouvre la centralité de la question énergétique.
Alors que l’industrie et les services manquent de main-d’œuvre, il y a urgence à s’intéresser à tous les talents, notamment ceux issus de la diversité qui sont disponibles, qualifiés et diplômés, mais qui ne trouvent pas d’emploi. Ce sujet sera au cœur du prochain Sommet de l’inclusion économique à Bercy, le 28 novembre prochain.
Lieux de pouvoir régalien, les ministères des Finances et du Budget, installés dans un complexe architectural de 230 000 m2 inauguré en 1989, servent souvent de tremplin aux personnalités qui s’y succèdent.
Dans un contexte incertain de l’économie mondiale, il faut impérativement réduire la dette de la France, l’une des plus élevées de la zone euro, et réformer nos politiques publiques, estime Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes. C’est indispensable pour faire face au mur d’investissement.
La guerre en Ukraine aura eu raison de l’argent magique et du travail sans bureau. Ce retour à la réalité est une occasion collective d’apprendre à travailler mieux pour gagner plus et investir.
Doter les managers d’une nouvelle paire de lunettes pour voir leur business, c’est la mission que s’est donnée Gaïa. Une démarche qui ne fonctionne qu’en explorant de nouveaux sentiers pédagogiques, selon José Maillet, responsable de cette école, adossée à Audencia Business School.
L’ancien directeur général de Carrefour avait quitté son poste il y a quelques semaines.
Inscrire dans les statuts de l’entreprise des objectifs clairs, précis, ambitieux validés par de nouveaux organes de gouvernance, c’est un peu la nouvelle posture que de plus en plus d’organisations adoptent. Histoire de fixer un cap pour une trajectoire plus responsable.
La chaîne de valeur de la distribution est vaste, du producteur au consommateur, en passant par l’approvisionnement ou les emballages. Comment une enseigne comme Action, la chaîne de magasins hard-discount, agit-elle pour la planète ? Le point de vue de son directeur général.
En première ligne lorsque l’on parle d’impact, les enseignes de distribution affrontent toutes les problématiques, qu’il s’agisse de gaspillage alimentaire ou d’empreinte carbone. La transition vers un monde plus durable est engagée et les consommateurs sont quant à eux plus exigeants vis-à-vis de leurs supermarchés.
