L’organisation de la République mérite d’être profondément réformé, estime l’ex-président de l’Assemblée des départements de France, qui a tenté de convaincre le chef de l’État de donner plus de pouvoirs aux collectivités locales. Il est l’invité du grand entretien de L’Hémicycle.
Quarante ans après l’abolition de la peine de mort, les paroles de Robert Badinter ont gardé intactes leur puissance politique, judiciaire et morale. Extraits de son discours du 17 septembre 1981, à l’Assemblée nationale.
En demandant au Parlement d’abolir la peine de mort, il y a quarante ans, Robert Badinter a voulu se persuader qu’aucun président de la République n’oserait revenir en arrière, selon Dominique Missika et Maurice Szafran.
Le numéro 505 vient de paraître ! Il se penche sur le retour de l’État dans la crise, un retour ambigu, avec une demande de protection forte mais aussi une exigence de simplification et d’efficacité dans l’action.
Tous les locataires de l’Élysée ont cherché à imprimer leur marque en puisant dans le Mobilier national. Leur ameublement en dit souvent plus long que bien des discours.
Depuis une quinzaine d’années, la politique investit les albums de BD. Coulisses d’une campagne électorale, visite de l’Élysée et de l’Assemblée nationale, portrait de Macron… le genre balance entre coups de griffe et coups de crayon.
S’ils sont sortis de l’ombre, avec l’affaire Fillon, en 2017, il y a longtemps que les assistants des députés ou des sénateurs se sont professionnalisés. Ce qui ne va pas sans poser de questions, à l’heure où la représentativité des élus est en crise.
L’ancien « spin doctor » de Nicolas Sarkozy a choisi se lancer dans l’aventure municipale à La Baule, sa ville de cœur. Pari réussi, puisqu’il en est le maire depuis 2020.
Allemande avant tout, la présidente de la Commission européenne mène une politique germano-centrée. Portrait sans concession.
Les élections territoriales ont prouvé que le clivage traditionnel de la vie politique française n’avait pas disparu, mais il coexiste avec un autre clivage, entre progressistes et conservateurs, explique le chercheur du Cevipof.
